Tuesday, September 30, 2008
QUAND CHIRAC COPINAIT AVEC SADDAM
Les Irakiens achetèrent deux réacteurs de 70-megawatts et six charges de 26 points d’uranium enrichi à 93%. En d’autres termes, assez d’uranium à usage militaire pour produire 3 à 4 têtes nucléaires. Bagdad ajouta à la commande un réacteur expérimental de 1MGW et Paris accepta de former 600 scientifiques et techniciens irakiens ce qui est toujours à l’heure actuelle le coeur de la capacité nucléaire du pays.
Par ailleurs, au cours de la visite, la France accepta de vendre à l’Irak pour 1.5 miliard de dollars d’armements, y compris le système intégré de défense aérienne que l’armée américaine détruisit en 1991, environ 60 Mirage F1, des missiles sol-air et de l’électronique de haut niveau. En échange, l’Irak s’engagea à vendre pour 70 millions de dollars de pétrole à la France (soit près de 10 millions de barils de brut).
A cette époque, Chirac a souvent déclaré, selon le NY Times, qu’il se considérait comme un “ami personnel de Sadam Hussein” et en 1987 le Manchester Guardian rapporta que Chirac s’était souvent déclaré “vraiment fasciné par Saddam Hussein depuis 1974”. La nature exacte de l’amitié particulière de Chichi et de Hussein reste floue mais d’étranges rumeurs non vérifiées circulent au Liban : elles font état d’une aide financière de Sadam pour la campagne municipale de 1977 qui amena Chirac à la mairie de Paris.
D’autres, tout aussi invérifiables, prétendent que Hussein a détourné de considerables sommes d’argent et que Chirac éait au courant. Enfin, les bonnes langues rappellent que les Irakiens eux-mêmes appelaient Chirac “Shah-Chirac” et que les Israéliens référaient au réacteur Osirak sous le nom de O-Chirac.....
Monday, September 29, 2008
LE CODE DE HAMMOURABI
Qu'est-ce que le Code de Hammurabi ou Hammurapi, dont beaucoup parlent sans le connaître ? « Le bloc de diorite qui porte le texte du Code, écrit le père V. Scheil, le premier traducteur du Code, a été découvert, partie en décembre 1901, partie en janvier 1902, par M. de Morgan, dans ses fouilles de Suse. Il mesure 2 m. 25 de hauteur et 1 m. 20 de pourtour à sa base. Gravé par Hammurabi, roi de Babylone, vers 2000 avant Jésus-Christ, pour le temple de Sippar (actuellement ruine de Abon Habba près Bagdad), il fut enlevé comme trophée vers 1120 avant Jésus-Christ par le roi Elamite Choutrouk-Nahhounte, et transporté dans sa capitale (1). »
Cette stèle est admirablement conservée. Elle est en basalte d'un beau noir. Au sommet de la stèle, figure un relief représentant le roi, dans l'attitude de l'adoration, sa main droite élevée. Il reçoit les lois de Shamash, le Dieu-Soleil. Sur la partie inférieure de la stèle sont écrites, en babylonien cunéiforme, 28 colonnes de texte. Il y a tout d'abord une introduction dans laquelle Hammurabi énumère les bienfaits qu'il a accordés aux temples et aux cités de Babylonie et d'Assyrie. Vient ensuite la liste des lois, au nombre de deux cent quatre-vingt-deux environ. Ces lois étaient, pour la plupart, en usage depuis des siècles, au moment où régnait Hammurabi. Sa tâche a consisté à les rassembler, à les classifier et à leur donner une autorité nouvelle.
Ces lois ont trait à la vie quotidienne et s'adressent à toutes les classes de la société ; elles renferment des détails fort intéressants sur les moeurs et les usages du temps. Ce Code se fait remarquer aussi par la sévérité et la cruauté inouïe de certaines de ses sanctions. Plusieurs de ces lois ont une réelle valeur. C'est ainsi que le roi recommande à ses sujets de travailler avec énergie; il ordonne aux parents d'apprendre un métier à leurs enfants et de leur enseigner les mathématiques.
D'autre part, un bon nombre de ces ordonnances laissent entrevoir des moeurs très corrompues et sont loin d'être inspirées par un idéal moral élevé. Ce Code indique une société fortement organisée, amie des arts et de la science, mais en même temps dissolue, matérialiste et sanguinaire. On a voulu présenter ce Code comme le précurseur du Code mosaïque; Moïse n'aurait été qu'un copiste d'Hammurabi: c'est bien mal connaître Moïse. Il y a sans doute quelques traits communs aux deux législations, comme il y en a de communs à toutes les législations. De tout temps, l'homme a eu, en une certaine mesure, la notion du bien et du mal. Même dans sa déchéance, l'âme humaine a gardé quelques rayons de la lumière divine qui l'enveloppait à l'origine.
Dans son admirable épître aux Romains, l'apôtre Paul parle de cette « loi écrite dans le coeur des païens », du témoignage de « leur propre conscience », « de leurs pensées qui tantôt les accusent, tantôt même les défendent », de telle sorte que « n'ayant point de loi, ils se tiennent lieu de loi à eux-mêmes » (Romains, II, 14-15). Nous ne sommes donc point étonnés de trouver dans le Code de Hammurabi, comme d'ailleurs dans tous les Codes païens, des notions justes et sages.
Mais il n'en reste pas moins que l'incomparable supériorité de la Loi mosaïque est évidente. Elle apparaît, au sein de l'antiquité, comme un flambeau dans les ténèbres, comme un message d'en-haut. Ici, ce n'est pas la voix des hommes, mais la voix de Dieu qui retentit. Voici quelques extraits du Code païen. Tout d'abord, donnons la parole à Hammurabi lui-même. Tandis que, dans sa promulgation de la loi, Moïse n'a qu'une pensée: la gloire de Dieu, sans se préoccuper de sa propre gloire, sans chercher à se donner des titres ou des vertus, le roi babylonien ne sait quelle expression choisir pour dire toute la haute opinion qu'il a de lui-même :
« Alors El et Bêl m'appelèrent par mon nom, moi Hammurabi, insigne prince, Hammurabi, le pasteur élu de Bel, moi-même! moi qui accumule luxe et richesse... buffle impétueux qui abat l'ennemi... divin roi de ville capitale, sage, intelligent... le maître des insignes.. l'avisé, l'accompli, qui a aménagé pâturages et abreuvoirs... le favori de l'oracle... le prince saint ... le prince auguste qui a fait briller la face d'Istar-Nana ... le fils valeureux de Sin, rejeton éternel de royauté, roi puissant, soleil de Babylone, qui projette lumière sur le pays de Soumer et Accad... roi obéi des quatre régions, favori d'Istar, moi-même! »
Telles sont les paroles orgueilleuses du législateur babylonien dans son prologue. Elles apparaissent aussi dans son épilogue: « Hammurabi, le roi sage... le roi accompli, moi-même !... Je suis le sceptre sauveur dont le sceptre est droit... Le roi puissant entre tous les rois de villes capitales, moi-même. Mes sentences sont précieuses, ma sagesse est sans rivale !... Dans Esaggil que j'aime que mon nom soit commémoré en bonne part, à jamais!... Hammurabi, roi de justice, à qui Chamach a octroyé l'esprit de rectitude, moi-même! Mes volontés sont précieuses! Mes oeuvres n'ont pas de pareilles... »
Quant au texte lui-même, quant à ces 282 ordonnances, aucune d'elles ne se fait remarquer par une haute valeur religieuse, ni morale. Il y a des ordres inspirés par la justice et le bon sens, mais aucun n'exprime un principe élevé et permanent ; ce sont des situations de détail, sans lien les unes avec les autres, sans pensée directrice. Aucune notion fondamentale de la valeur de toute personne humaine ; ici c'est l'esprit de caste qui règne. Aucune notion de l'unité de la vie réclamée tout entière par Dieu pour son service et pour sa gloire. Le Code est essentiellement utilitaire, visant l'intérêt, le bien-être, la protection des biens et des privilèges, bien plus que l'accomplissement de devoirs impératifs devant lesquels l'intérêt et le bien-être doivent savoir céder. Avec cela, extrême sévérité pour des pauvres : « Si un homme a volé un boeuf, mouton, âne, porc ou une barque, si c'est au Dieu ou au palais, il rendra au trentuple... Si le voleur n'a pas de quoi rendre, il est passible de mort. » (Art. 8).
Extrême sévérité pour des actes de bonté à l'égard des esclaves : « Si un homme a fait sortir des portes un esclave ou une esclave du palais..., il est passible de mort. » (Art. 15). « Si un homme a abrité chez un esclave ou une esclave en fuite du palais... et si, sur la voix du majordome, il ne le fait pas sortir, le maître de maison est passible de mort. » (Art. 16). Le Code a des faveurs spéciales pour les officiers, pour les « mouchkinou » ou aristocrates ; il semble mettre sur le même pied d'honneur les prêtresses et les femmes publiques (178, 179) ; il ignore la grande loi de la justice impartiale et de la pitié pour le faible, pour le vieillard, pour l'enfant, pour le malheureux, pour l'étranger.
Surtout il est misérable au point de vue religieux: Aucune notion d'un Dieu unique, tout-puissant, fidèle et équitable en toutes ses voies, d'un Dieu personnel qui s'occupe de chacune de ses créatures sans faire acception de personnes. Dire que les lois de Moise sont une pâle copie du Code d'Hammurabi, c'est vraiment ne rien comprendre à la grandeur de Moise et verser dans un anti-sémitisme technique.
Saturday, September 27, 2008
LE DELUGE EUT LIEN EN INDE
Ces deux narrations signalent que le déluge dura 40 jours et on peut penser que la narration védique, la plus ancienne, est celle qui a inspiré toutes les autres. Plus de 250 versions du déluge ont été enregistrées à ce jour dont certaines au Pérou et en Polynésie.
Le génie des Juifs aura été de faire croire au monde chrétien et occidental que leur histoire est celle de l'humanité. Comme m'a dit un soir mon ami Claude :"notre superiorité est d'avoir inventé un Dieu unique." Le pire de tout est que les Juifs croient en leurs propres mythes.
Friday, September 26, 2008
LA CONFERENCE D'EVIAN
En 1938, devant l'afflux des demandes de visa émanant de Juifs et désireux de ne pas y donner suite, les USA convoquèrent durant l'été la Conférence d'Evian, chargée de résoudre le problème des réfugiés, problème que, dès 1933, on avait vainement essayé de résoudre par la création d'un Haut Commissariat pour les réfugiés en marge puis au sein de la SDN (Société des Nations). Cette conférence fut un échec complet, personne ne voulant de Juifs supplémentaires. Belges, Hollandais et Français ne voulant même pas entendre parler de simple transit des réfugiés juifs.
A titre d'exemple, les Britanniques n'accordaient de visas que pour 25 colons dans l'immense Kenya, et encore, sans leurs familles. De son côté, l'Australie refusait d'en recevoir un seul et sans chercher de faux-fuyant, justifiait son refus par la crainte d'importer un problème racial. Certes, chacun ou presque avait un projet de création d'un foyer d'accueil pour les Juifs mais ailleurs que chez lui: les Anglais, par exemple, avaient le projet d'envoyer les Juifs allemands au Tanganyika (ancienne colonie allemande) et en Guyane; les Français voulaient les envoyer à Madagascar et en Nouvelle-Calédonie, encore craignaient-ils que, après l'écroulement du nazisme, les Juifs allemands réimplantés dans l'île se déclarent en faveur de la nouvelle Allemagne et refusent de s'assimiler. Les Polonais, les Roumains et les Hongrois, tous aussi désireux que les Allemands de se débarasser de leurs Juifs, poussaient beaucoup à cette solution de Madagascar. Les Allemands furent très intéressés par cette solution, car une île leur semblait apte à circonscrire le "virus juif" et, en 1940, après l'effondrement des armées françaises, Heydrich relança ce projet avec de nouveaux atouts.
Les USA parlaient de l'Ethiopie, laquelle venait d'être conquise par les Italiens; ces derniers, bien entendu, pensaient que c'était aux USA d'accueillir les Juifs. Après l'échec du projet Ethiopie, Roosevelt reprit un vieux projet Angola (1912) dont les Portugais n'avaient finalement plus voulu; les Portugais firent savoir qu'ils n'avaient pas changé d'avis.
Il y eut un projet franco-suisse d'établissement de 50.000 Juifs à Haïti; les Américains y pensaient aussi mais ce projet limité tomba aussi à l'eau. Le Comité d'Evian étudia également la colonisation en Rhodésie du Nord, en République Dominicaine, aux Philippines, en Guyane britannique. Il y eut également des projets pour la Rhodésie du Sud, le Sinaï, la Guinée britannique et, probablement, beaucoup d'autres régions, toutes solutions abandonnées notamment par manque de moyens financiers et de volonté politique.
Finalement, on décida courageusement et généreusement de ne rien faire et les Juifs furent livrés à leur terrible sort. Les "démocraties" gagnèrent un peu de temps de répit. Dans 7 ans, elles découvriront le prix énorme de leur lâcheté.
Tuesday, September 23, 2008
LETTRE DE GHANDI A HITLER DECEMBRE 1941
Si je vous appelle ami, ce n'est pas du formalisme. Je ne possède pas d'ennemis. L'affaire de ma vie depuis trente-cinq ans a été de m'assurer l'amitié de toute l'humanité, sans distinction de race, de couleur ni de croyance. J'espère que vous avez le temps et le désir de savoir comment une portion importante de l'humanité qui vit sous l'influence de cette doctrine d'amitié universelle considère vos actions. Nous ne doutons pas de votre bravoure et de votre amour pour votre patrie et nous ne croyons pas que vous soyez le monstre décrit par vos adversaires.
Mais vos écrits et vos déclarations, ainsi que ceux de vos amis et admirateurs ne permettent pas de douter que beaucoup de vos actes ne soient monstrueux et attentatoires à la dignité humaine, surtout au jugement de ceux qui, comme moi, croient à l'amitié universelle. Il en est ainsi de votre humiliation de la Tchécoslovaquie, du viol de la Pologne et de l'absorption du Danemark. Je suis conscient de ce que, selon votre conception de la vie, ces spoliations sont des actes louables. Mais nous avons appris depuis l'enfance à les considérer comme des actes dégradant l'humanité. Aussi ne pouvons-nous pas souhaiter le succès de vos armes.
Mais notre position est unique. Nous résistons à l'impérialisme britannique tout autant qu'au nazisme. S'il y a une différence, c'est une différence de degré. Un cinquième de la race humaine a été mis sous la botte britannique par des moyens qui ne supportent pas l'examen. Notre résistance à cette oppression ne signifie pas que nous voulons du mal au peuple britannique. Nous cherchons à le convertir, non à le battre sur le champ de bataille. Notre révolte contre la domination britannique est désarmée. Mais que nous convertissions ou non les britanniques, nous sommes décidés à rendre leur domination impossible par la non-coopération non violente.
C'est une méthode invincible par sa nature même. Elle est basée sur le fait qu'aucun spoliateur ne peut atteindre son but sans un minimum de coopération, volontaire ou forcée de la part de sa victime. Nos maîtres peuvent avoir nos terres et nos corps, mais pas nos âmes. Ils ne peuvent avoir ces dernières qu'en exterminant tous les indiens - hommes, femmes et enfants. Il est exact que tous ne peuvent s'élever à ce degré d'héroïsme et que la force peut briser la révolte, mais ce n'est pas la question. Car si l'on peut trouver en Inde un nombre convenables d'hommes et de femmes prêts, sans aucune animosité contre les spoliateurs, à sacrifier leur vie plutôt que de ployer le genou devant eux, ils auront montré le chemin de la libération de la tyrannie violente.
Je vous prie de me croire quand j'affirme que vous trouverez un nombre inattendu de tels hommes et femmes en Inde. Ils ont reçu cette formation depuis vingt ans...Dans la technique non violente, comme je l'ai dit, la défaite n'existe pas. C'est " agir ou mourir ", sans tuer ni blesser. Elle peut être utilisée pratiquement sans argent et de toute évidence sans l'aide de la science de la destruction que vous avez poussée à une telle perfection. Je suis étonné que vous ne voyez pas qu'elle n'est le monopole de personne. Si ce n'est pas les Britanniques, quelque autre puissance pourra améliorer votre méthode et vous battre avec vos armes.
Vous ne laisserez pas à votre peuple un héritage dont il aura lieu d'être fier. Il ne pourra s'enorgueillir du récit d'actes cruels, même habilement préparés. Je vous demande donc au nom de l'humanité de cesser la guerre... ... Pendant cette saison où les cœurs des peuples d'Europe implorent la paix, nous avons suspendu même notre propre lutte pacifique. Ce n'est pas trop vous demander que de faire un effort pour la paix à un moment qui ne signifie peut-être rien pour vous mais qui doit signifier beaucoup pour les millions d'Européens dont j'entend la clameur muette pour la paix, car mes oreilles sont accoutumées à entendre les masses silencieuses.
J'avais l'intention d'adresser un appel conjoint à vous-même et au Signor Mussolini que j'ai eu l'honneur de rencontrer à l'époque de mon voyage en Angleterre comme délégué à la conférence de la table ronde. J'espère qu'il voudra considérer ceci comme lui étant adressé également, avec les changements indispensables.
Trad. Pierre Rocheron in Robert Payne, Gandhi, pp.312-313, éditions du seuil, Paris, 1972.
Sunday, September 14, 2008
DEUX ORDURES COLLABOS : LAVAL ET THOREZ
Fautil rappeler au lecteur que les pires collabos, Marcel Déat et Jacques Doriot, vinrent l'un du parti socialiste, l'autre du parti communiste ? Et que Maurice Thorez, futur leader du PCF, déserta l'armée française en septembre 1939, s'enfuit en Belgique et se réfugia en URSS ? Les pires crapules de la collaboration vinrent toutes de la grande chapelle communiste.
A la Libération, on a fusillé Pierre Laval, autre crapule collabo venue de la Gauche française. Pourquoi n'a-t-on pas fusillé la crapule Thorez à son retour en France en 1944 ? Il sera grâcié par de Gaulle et participera même à plusieurs gouvernements d'après-guerre.
Quelle est la différence de crime entre Laval et Thorez ? Aucune : tous deux ont souhaité la victoire de l'Allemagne et au moins Laval n'avait pas déserté.
LES CHINOIS ONT INVENTE DIEU AVANT NOUS
Friday, September 12, 2008
UN MOMENT DE REPIT EN SODOMIE
Et de toutes ces violences, va donc, homme ou femme,
Pratiquer la sodomie, ils aiment tous les plaisirs de Sodome
Bardaches, jeunes et dodus,
Beaux enfants de Sodome,
Soyez ici les bien-venus
Comme au milieu de Rome ;
Et vous, détestables putains,
Dont les cons nous dégoûtent,
Allez chez les Américains
Chercher gens qui vous foutent.
Servait de nourriture
On ne foutait que des conins
Par ignorance pure ;
Mais l'homme devenu plus fin
En redressant le monde,
Pour foutre le jeune blondin
Quitta bientot la blonde.
SUICIDE COLLECTIF CHEZ LES JUIFS A MASSADA
En 66 AD, la rébellion anti-romaine éclate en Judée et les Zélotes, une secte intégriste des Pharisiens, occupe la forteresse et massacre sa garnison romaine. Masada restera sous controle juif jusqu'en 73, date a laquelle les 15.000 soldats de la Xeme légion romaine attaquent le fort, construisent une rampe d'acces avec l'aide de prisonniers de guerre juifs et sont sur le point de s'en emparer lorsque ses 1000 occupants, a la derniere minute, choisissent de commettre un suicide collectif plutot que de tomber sous le joug romain.
Seulement deux femmes et cinq enfants échapperent au massacre en se cachant et ont pu ainsi témoigner du sort héroique et de l'histoire tragique de Masada a la postérité. La plupart des archéologues pensent que le siege de Masada dura plusieurs mois, d'autres estiment que tout fut joué en quelques semaines. L'assaut romain fut ordonné par le Gouverneur Flavius Silva, alors répondant a l'empereur Titus.
Mis a jour de 1963 a 1965 par Yigael Yadin et une équipe internationale d'archéologues volontaires, le site de Masada est devenu une attraction touristique majeure et un lieu sacré de l'histoire juive. Des fragments de poterie présumés avoir appartenus a la forteresse sont toujours mis en vente en Israel et l'auteur de ces lignes en a meme vendus (authentifiés) sur e-Bay. De nos jours,la forteresse est accédée par un téléphérique construit par les Suisses.
D'aucuns prétendent que cet épisode de l'histoire juive n'est qu'un mythe de plus.
Thursday, September 11, 2008
WILLIAM HEARST OU L'EMPIRE DU MAL
William Randolph Hearst est le nom d’un multimillionnaire qui aida les nazis dans leur guerre psychologique contre l’Union soviétique. Hearst était un très grand patron de presse américain, connu comme le ‘père’ de ce qu’on appelle la « yellow press », la presse à sensation. William Hearst avait commencé sa carrière comme rédacteur en chef en 1885, lorsque son père, George Hearst, un millionnaire de l’industrie minière, sénateur et propriétaire de journaux lui-même, le nomma à la tête du San Francisco Daily Examiner.
Ce fut aussi le début de l’empire de presse de Hearst, un empire qui influença énormément la vie quotidienne et la pensée des Nord-américains. Après la mort de son père, il vendit toutes les parts de l’industrie minière dont il avait hérité et commença à investir dans le monde de la presse. Son premier achat fut le New York Morning Journal, un vieux journal que Hearst transforma complètement pour en faire un journal à ragots. Il achetait ces histoires à n’importe quel prix, et lorsqu’il n’y avait pas assez d’atrocités ou de crimes à raconter, ses chers journalistes et photographes les ‘arrangeaient’ à leur sauce. C’est ce qui caractérise la « presse jaune » : des mensonges et des atrocités « arrangés » et servis comme vraies.
Ces mensonges firent de Hearst un millionnaire et un personnage très important dans le monde de la presse. En 1935, il était devenu un des hommes les plus riches de la planète et sa fortune était estimée à 200 millions de dollars. Après la vente du Morning Journal, Hearst se mit à acheter et à fonder des journaux quotidiens et hebdomadaires à travers tous les Etats-Unis. Dans les années 40, Hearst possédait 25 quotidiens, 24 hebdomadaires, 12 stations de radio, 2 agences de presse, une entreprise fournissant des faits-divers pour les films, la compagnie de cinéma Cosmopolitan, et beaucoup d’autres choses encore. En 1948, il acheta une des premières chaînes de télévision américaine, BWA, à Baltimore. Les journaux de Hearst se vendaient à 13 millions d’exemplaires chaque jour et avaient 40 millions de lecteurs.
Près d’un tiers de la population adulte américaine lisait chaque jour un journal de Hearst. En plus, des millions de gens à travers le monde recevaient des informations de la presse de Hearst via ses agences de presse, ses films et ses journaux, traduits et publiés en gros tirage dans le monde. Les chiffres cités montrent combien l’empire de Hearst eut le pouvoir d’influencer la politique américaine, et de là, la politique dans le monde, pendant de très longues années. Sa presse refusa par exemple pendant longtemps que les Etats-Unis entrent dans la Seconde Guerre Mondiale du côté de l’Union soviétique. Elle soutint plus tard le Maccarthysme, la chasse aux sorcières anticommuniste dans les années 50.
La conception du monde de William Hearst était ultra-conservatrice, nationaliste et anticommuniste. Sa politique était à l’extrême droite. En 1934, il voyagea en Allemagne et fut reçu comme un invité et un ami par Hitler. Après son voyage, les journaux de Hearst devinrent encore plus réactionnaires, publiant toujours plus d’articles contre le socialisme, contre l’Union soviétique et contre Staline en particulier. Hearst tenta aussi de servir directement la propagande nazie en publiant une série d’articles de Goering, le bras droit d’Hitler. Les protestations de beaucoup de lecteurs, néanmoins, le força à arrêter la publication de ces articles et de les retirer de la circulation.
Après la visite à Hitler, la presse à sensation de Hearst fut remplit de « révélations » sur les terribles évènements qui se produisaient en Union soviétique : meurtres, génocide, esclavage, débauche des dirigeants et misère du peuple, tous cela faisant quotidiennement les gros titres. La matière était fournie par la Gestapo, la police politique nazie. Sur la première page des journaux apparaissaient souvent des caricatures et des photos trafiquées d’Union soviétique, avec par exemple Staline, caricaturé en criminel avec un couteau dans les mains. N’oublions pas que ces articles étaient lus chaque jour par 40 millions de personnes aux Etats-Unis et des millions d’autres à travers le monde !
Note du Webmaster : Toute ressemblance avec un personnage de la presse existant, dont le prénom serait Rupert, est une pure coincidence
LA GRIPPE ESPAGNOLE DE 1918 SERAIT AMERICAINE
La 1° phase (été 1918) clouait le malade au lit 3 jours. L'introduction en Europe par l'armée américaine a eu lieu à Bordeaux en avril 1918. En avril et mai, cette épidémie s'est propagée au sein des forces armées, et s'est étendue en Italie et en Espagne. C'est lorsque l'épidémie toucha l'Espagne que l'on comprit que l'épidémie était d'importance, d'où le nom de 'grippe espagnole'. De là, elle s'étendit à l'Europe entière, puis dans les colonies européennes.
La 2° (automne 1918) et la 3° (janvier 1919) tuaient en 3 jours. L'introduction de la 2ème vague en Europe a eu lieu à Brest. Elle était caractérisée par un virus tuant 10 fois plus de personnes que la première vague et s'est rapidement étendue à l'Europe. De là, elle s'étendit dans les colonies européennes.
On est estime que 50% de la population mondiale a été infectée. 25% de la population mondiale a présenté des symptômes. Les chiffres d'estimation de nombre total de morts dans le monde oscillent entre 20 et 50 milions selon les chercheurs, le consensus étant d'environ 30 millions dont 408 180 en France : 25% de la population d'Alaska et des Samoa a été décimée par cette épidémie.
Contrairement aux autres épidémies qui tuent les personnes agées, celle-ci a tué majoritairement les individus de 20 a 40 ans. Le symptôme unique à la grippe espagnole était qu'elle provoquait une bronchite / bronchiolite si sévère qu'elle provoquait la mort par suffocation.
Thursday, September 4, 2008
LAWRENCE OF ARABIA : AMI DES ARABES ?
ministre britannique des Affaires étrangères en 1916,
Thomas Edouard Chapman, alias Laurence d'Arabie,
précisait « L'activité du Cherif Hossein semble
s'exercer à notre avantage. En effet , elle vise
nos objectifs immédiats : l'éclatement du bloc
islamique, et la défaite et le démembrement de
L'Empire Ottoman. D'ailleurs , les Etats que
(le Chérif) créerait pour remplacer les Turcs
seraient aussi inoffensifs à notre égard que la
Turquie l'était elle-même avant de devenir un jouet
des Allemands. Les arabes sont encore plus
instables que les Turcs. Si nous savons nous y
prendre, ils resteront à l'état de mosaïque
politique, un tissu de petites principautés jalouses,
incapable de cohésion ».
LE JAPON SE FERME AU XVIIEME SIECLE
Après la rébellion de Kyushu qui surprit le pouvoir par sa ferveur et son intensité, l'empereur prend peur et décide de frapper un grand coup. Tous les navires étrangers furent frappés d'interdiction de mouillage dans un port japonais, les navires japonais se virent interdire de faire voile vers un pays étranger et , pour faire bonne mesure, l'empereur décida d'interdire la construction de navires de haute mer. Enfin, les Japonais établis "outre-mer" se virent refuser le droit de revenir dans la mère-patrie. Ils avaient été "souillés" par des influences pernicieuses étrangères...
Le résultat de ces mesures imbéciles ne se fit pas attendre : en quelques années, le Japon cessa d'être une puissance maritime et son influence en Asie disparut totalement pour quelque 250 années.
C'est beau le pouvoir quand il est aux mains d'un imbécile xénophobe. LA dynastie Tokugawa règnera de 1600 à 1868, condamnant le Japon à l'obscurité et au Confucianisme le plus strict. C'est au cours de cette période que les Japonais vont devenir ce troupeau d'individus passifs, constamment surveillés par une police secrète vicieuse et endoctrinés dans l'idée que les classes marchandes et industrieuses sont la lie de la société.